L’Ombudsman des patients a publié son rapport annuel pour 2024-2025, qui détaille comment les plaintes peuvent être une source riche de renseignements pour les fournisseurs de soins de santé, les organismes, et le système de santé en général, afin d’améliorer les expériences de soins de santé des Ontariens.
Alors que le Bureau continue de constater une augmentation du nombre de plaintes d’année en année, ce rapport met en lumière la façon dont l’Ombudsman des patients a intégré des approches tenant compte des traumatismes dans son travail de résolution et d’enquête, et comment ces approches peuvent aider à traiter les problèmes de plainte.
En plus de résoudre plus de 4 800 plaintes l’année dernière, l’Ombudsman des patients a réalisé six enquêtes, qui ont donné lieu à plus de 40 recommandations aux organismes de soins de santé. Ce rapport annuel fournit également des mises à jour sur l’état des recommandations formulées depuis 2018.
Au moyen des enjeux en vedette, le rapport aborde des préoccupations urgentes, y compris les problèmes de sortie coordonnée et planifiée de l’hôpital; l’utilisation de la force et des contentions pour répondre à des comportements difficiles; et réexamine des problèmes passés liés aux services d’urgence et aux plaintes obstétricales et gynécologiques.
Les chiffres :
- En 2024-2025, l’Ombudsman des patients a reçu 4 886 nouvelles plaintes;
- a résolu 4 863 plaintes; et
- a réalisé six enquêtes, qui ont donné lieu à plus de 40 recommandations aux organismes de soins de santé.
« Les plaintes nous offrent des renseignements uniques sur ce qui ne fonctionne pas dans le système de santé. À l’aide de ces renseignements, les fournisseurs et les organismes de soins de santé peuvent trouver des occasions où l’on peut apporter des améliorations significatives aux expériences des patients, des résidents et des aidants. C’est pourquoi il est si important que le processus de plainte soit accessible à tous. »
– Craig Thompson, Ombudsman des patients
Pour lire le rapport annuel, veuillez cliquer ici.
Source: L’Ombudsman des patients, Canada